Les oscillations invisibles
La pécule semblait désormais exprimer seule. Le dessein des murs, patiné par les saisons, conservait une tiédeur étrange, tels que s’il absorbait l’écho des présences passées. Les oracles oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait déceler. Chaque quantième, elle observait les naissantes compositions monter : un pendule s’a